Dans une époque où la protection de la planète est devenue un sujet de préoccupation majeur, les entreprises françaises s’engagent à répondre présent en réduisant l’impact de leurs activités sur l’environnement. Illustration avec l’exemple du fonds d’investissement HLD dirigé par Jean-Bernard Lafonta.
La planète est en surchauffe et souffre de problèmes environnementaux multiples qui ne cessent de s’accroître (canicule, sécheresse, incendie, hausse du niveau des mers, ouragans…). Il y a une grande responsable du dérèglement climatique et de la dégradation environnementale associée : l’activité humaine
En effet, l’intensification des activités économiques, agricoles, industrielles ou encore la hausse de la logistique et des transports, s’accompagnent d’une augmentation des gaz à effet de serre (CO2, Méthane…) qui participent au réchauffement de la planète.
C’est pourquoi il est primordial de changer les modèles de production, de consommation ou encore les gestes du quotidien pour éviter une catastrophe climatique irréversible. Face à l’urgence, bon nombre d’entreprises françaises veillent désormais à insérer les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leurs activités. C’est le cas du fonds d’investissement HLD.
Co-fondé par Jean-Bernard Lafonta, cette société pilote un portefeuille de 18 entreprises cumulant 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires et une croissance annuelle moyenne de 12% avec une stratégie consistant à soutenir sur la durée ces entreprises afin qu’elles puissent créer un maximum de valeur.
Une approche qui prend également en compte les enjeux environnementaux. Les entreprises soutenues par le fonds de Jean-Bernard Lafonta intègrent toutes les facteurs ESG dans leurs activités. Concrètement, HLD exige de toutes les entreprises dans lesquelles il s’engage des exigences fortes en matière de développement durable.
Ce n’est donc pas un hasard si le groupe accompagne divers acteurs spécialisés dans les nouvelles énergies décarbonées. On peut notamment citer TSG, le leader européen des solutions de distribution multi-énergie pour la mobilité verte, qui ne cesse de s’étendre sur le vieux continent.
HLD a également adhéré aux Principes pour l’investissement responsable de l’ONU (UNPRI) en 2018. Un an plus tard, le groupe a intégré les critères ESG au cœur de sa stratégie de développement, et systématisé les démarches due diligence ESG comme préalables à ses investissements.
Dans cette logique, Jean-Bernard Lafonta a réalisé en mai 2022 sa première émission d’obligations durables (Sustainability-Linked Bonds) d’un montant de 47 millions d’euros. Pour rappel, ce sont des emprunts obligataires liés aux performances RSE de leurs émetteurs. Les modalités (souvent financières) de ces obligations sont donc associées à différents objectifs environnementaux détaillés lors de l’émission. L’objectif d’HLD est de réduire tous les ans l’empreinte carbone de son portefeuille d’au moins 4%.
